Cravate Fait Main à Paris et assemblées à la Main à Paris avec du fil de Soie une cravate luxe de fabrication française
Chez philippegaber, chaque Cravate Fait Main Paris est coupée et Fait Main pour votre commande.
C’est pourquoi, il y a un délai de fabrication indiqué sur la page de chaque Cravate Paris est Fait Main.
Vous ne devez pas attendre que d’autres clients achètent la même cravate pour que celui-ci soit fabriqué. Seul votre commande valide la fabrication par philippegaber.
C’est pour cette raison que Philippe Gaber s’attache à concevoir ses Cravate Fait Main à la demande afin que votre cravate soit à la bonne largeur par exemple.
Retrouvez les Cravate Paris fait main par philippegaber sur sa boutique en ligne.
La fabrication de votre cravate Paris
Votre cravate luxe est coupée en trois pièces dans le biais du tissu pour être ensuite pliée à la main comme un origami avec, placer à l’intérieur, une âme : triplure laine, ce qui confère à votre cravate son volume.
La couture centrale est totalement assemblée à la main avec un seul fil de Soie, ce qui permet de garder l’élasticité de votre cravate.
Un seul fil luxueux de soie, raffiné et surtout français de la maison fondée en 1830 Au Ver À Soie et excusez du peu Entreprise du patrimoine vivant.
Le fait d’assembler votre cravate Paris entièrement à la main permet l’appellation Fait Main ce qui est un gage ultime de qualité pour les cravates de luxe .
Le fil de fixation, sur les deux extrémités de la couture centrale, sont un Bartack Parisien, permettant de garder l’élasticité de votre cravate Paris. Votre cravate fait Main, ne vrille pas, ce qui est un gage ultime d’une cravate Luxe (à l’inverse d’une cravate fait à la machine imitant le point main ou non qui vrille quand on tire sur les deux extrémités de la cravate ! )
Tous ces détails de votre cravate Paris, font que vous pouvez dire « Ma cravate, une édition limitée exclusive qui a été spécialement fabriquée à la main par philippegaber à mon intention ! ».
C’est ce qui fait toute l’exception des cravates de Philippe Gaber.